Stabilité pour les céréales à l’ouverture d’Euronext
Les marchés restent néanmoins hésitants et volatils sur la fin de cette semaine, selon Argus Media-Agritel.
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« Le blé reste sous le coup de la hausse des stocks en France affichés à 3,74 millions de tonnes par FranceAgriMer au plus haut depuis 2004-2005, précise le cabinet. Les opérateurs sur ce marché suivent également la Chine qui cherche à annuler ou reporter une partie de ses commandes en blé encore en cours sur la scène internationale. Et surtout les opérateurs restent dans l’attente de tout nouvel appel d’offres », ajoute-t-il.
Le cabinet note également que l’association des coopératives en Allemagne prévoit une baisse de la récolte de blé en 2024 de 6,5 %, à 20,14 millions de tonnes.
Selon Sitagri, le Japon a réservé 114,3 millions de tonnes de blé par le biais d’appel d’offres auprès des États-Unis, du Canada et de l’Australie. « L’Ikar (institut d’études des marchés agricoles) prévoit que la production de blé russe pour la campagne 2024-2025 atteindra 93 millions de tonnes et que les exportations pour la période 2024-2025 s’élèveront à 50 millions de tonnes », ajoute le cabinet.
Le jeudi 14 mars 2024 sur Euronext, la tonne de blé clôturait à 194,00 € (–0,75 € par rapport à la clôture précédente) sur l’échéance de mai et à 204,75 € (–1,50 €) sur l’échéance de septembre. La tonne de maïs clôturait, quant à elle, à 179,50 € (+1 €) sur l’échéance de juin et à 182 € (+0,50 €) sur l’échéance d’août.
Ce vendredi 15 mars, vers 11 heures sur Euronext, la tonne de blé s’ouvrait à 194 € (stable) sur l’échéance de mai et à 204,75 € (stable) sur celle de septembre. La tonne de maïs s’ouvrait à 179,25 € (–0,25 €) sur l’échéance de juin et à 182 € (stable) sur celle d’août.
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